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Avec "1923", Harrison Ford reprend l'aventure à la télévision
Depuis que "Star Wars" a assuré sa gloire, Harrison Ford a largement préféré le grand écran à la petite lucarne. Mais avec le western "1923", l'acteur accepte de revenir à la télévision, une preuve supplémentaire du pouvoir d'attraction des séries américaines.
Le feuilleton, diffusé en streaming sur Paramount+ à partir de dimanche, est un dérivé de la série à succès "Yellowstone" sur l'Ouest américain et sa nature sauvage. On y retrouve donc les cowboys de la famille Dutton, dévoués à la protection de leur vaste ranch dans le Montana.
Mais au lieu des aventures contemporaines narrées par "Yellowstone", "1923" remonte aux origines de la dynastie, au début du 20e siècle. Harrison Ford y incarne le patriarche Jacob Dutton, qui tente avec sa femme Cara --incarnée par l'actrice oscarisée Helen Mirren-- de protéger leur terre et leur élevage de nombreux prédateurs, animaux comme humains.
Une aventure qui, grâce à la qualité de son scénario, a convaincu Harrison Ford, de délaisser temporairement le cinéma traditionnel.
"J'ai simplement trouvé une écriture formidable à la télévision. C'est ce qui m'a donné envie de le faire", a expliqué à l'AFP l'interprète de Han Solo et d'Indiana Jones, lors de la projection de lancement à Los Angeles.
"Il s'agit simplement de suivre l'écriture de qualité", insiste l'acteur de 80 ans, dont les derniers rôles télévisés remontent aux années 1970, avant que la saga Star Wars ne le propulse au firmament de Hollywood.
Le comédien, prochainement attendu dans le cinquième volet d'Indiana Jones et dans plusieurs films Marvel où il tiendra un rôle secondaire, n'abandonne pas pour autant le grand écran.
Mais sa participation à "1923" confirme le caractère désormais incontournable des séries américaines, en plein "âge d'or de la télévision" à Hollywood.
D'Al Pacino à Meryl Streep, les grands noms se pressent désormais pour jouer dans des feuilletons télévisés. D'autant que la compétition féroce entre les géants fortunés du streaming Netflix, Amazon Prime et Apple TV+, ainsi qu'une myriade de nouveaux concurrents, force toutes les plateformes à se dépasser.
- Fresque historique -
Dans ce marché ultra-concurrentiel, "Yellowstone" cartonne aux Etats-Unis.
Le premier épisode de sa cinquième saison a attiré en novembre douze millions de téléspectateurs sur le service de streaming de Paramount, soit davantage que "Game of Thrones" au même stade.
Au-delà de sa célébration des rodéos et des moqueries sur les Californiens bien pensants dont l'Amérique conservatrice raffole, ce western moderne a conquis un public beaucoup plus large grâce à ses luttes de pouvoir intestines et à ses magouilles politiques.
La série a déjà inspiré un "prequel", intitulé "1883", qui remonte encore plus loin dans l'histoire de la dynastie Dutton que "1923".
Mais selon Harrison Ford, "cette saga sur la famille Dutton a un parfum différent des deux autres".
Moins qu'un western pur et dur, sa partenaire Helen Mirren y voit une fresque historique sur la construction des Etats-Unis, à la manière d'"un vaste roman russe". Pour elle, la série est "un essai et un commentaire formidable sur l'histoire américaine".
Cette nouvelle branche de la saga examine le mode de vie des pionniers partis à la conquête de l'Ouest, dont l'histoire "n'a jamais été vraiment racontée honnêtement" et a été "enrobée d'idéalisme", estime l'ancien interprète de James Bond Timothy Dalton, qui campe le méchant de la série.
Dès le premier épisode, Harrison Ford est confronté à un cowboy qui lutte pour garder son troupeau de moutons en vie sur des terres arides. Pour lui, l'immense et luxuriant ranch de la famille Dutton relève d'une injustice.
A qui appartiennent l'Ouest américain et ses ressources? Lancinante dans tout l'univers "Yellowstone", qui met aussi en scène des Amérindiens, la question rentre en écho avec l'histoire personnelle de Ford.
Dans la série, l'acteur parcourt à cheval un Montana sublime, voisin du Wyoming où il vit depuis les années 1980, après avoir quitté la Californie. Ecologiste convaincu, le comédien a cédé des centaines d'hectares de son ranch au nom de la défense de l'environnement.
"1923" montre "une conception du territoire, qui n'est pas la mienne", reconnaît-il. En fonction des époques, "l'amour de la terre, c'est un problème compliqué".
M.Davis--CPN