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Zelensky en route pour le G7 après avoir eu gain de cause sur les F-16
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est attendu samedi au Japon pour une participation surprise au sommet du G7 où il rencontrera son homologue américain Joe Biden, qui a ouvert la voie à une future livraison d'avions de combat tant réclamée par l'Ukraine.
Il doit arriver à Hiroshima en provenance d'Arabie saoudite, où il a plaidé sa cause vendredi au sommet de la Ligue arabe devant "certains" pays qui, selon lui, "ferment les yeux" sur l'invasion russe de l'Ukraine.
Dans la ville japonaise ravagée en 1945 par la première bombe atomique de l'histoire, le chef d'Etat devenu chef de guerre pourra rencontrer dimanche les dirigeants des pays alliés qui le soutiennent déjà fermement. Mais aussi ceux de grandes puissances émergentes non alignées comme le Brésil et surtout l'Inde, qui entretient des liens militaires étroits avec la Russie et a refusé de condamner l'invasion russe de l'Ukraine.
Il n'a pas été précisé s'il assisterait dès samedi soir à un dîner prévu avec les dirigeants du G7 et de ces pays invités.
Le "meilleur porte-parole" de la cause de l'Ukraine, "c'est le président ukrainien lui-même", a estimé une source diplomatique française, alors que Paris a mis à sa disposition un avion du gouvernement français pour l'acheminer en Arabie saoudite puis au Japon.
- Décision "historique" -
La venue du président Zelensky est devenue le principal sujet du G7, qui doit toutefois aussi s'accorder samedi sur une position commune face à la montée en puissance économique, diplomatique et militaire de la Chine, sur fond de tensions croissantes entre Washington et Pékin.
A l'issue d'une réunion consacrée à l'Ukraine vendredi, la Maison Blanche a fait savoir que le président américain avait surmonté ses réticences de longue date en se disant prêt à autoriser d'autres pays à fournir à Kiev les avions de combat qu'il réclame, des F-16 de fabrication américaine. Une décision "historique", a salué le président ukrainien.
Jake Sullivan a confirmé que Washington soutenait désormais une initiative commune de ses alliés pour former des pilotes ukrainiens sur des F-16. Pendant ces longs mois d'entraînement, les Occidentaux décideront quand livrer des avions, combien, et quels pays les fourniront.
"Le Royaume-Uni travaillera avec les Etats-Unis, les Pays-Bas, la Belgique et le Danemark pour apporter à l'Ukraine la capacité aérienne de combat dont elle a besoin", a immédiatement réagi le Premier ministre britannique Rishi Sunak, également présent au Japon. Le président français Emmanuel Macron s'était aussi dit prêt lundi à apporter aux pilotes ukrainiens une formation.
Alors que son pays prépare une contre-offensive d'envergure contre Moscou, Volodymyr Zelensky venait de rentrer d'une tournée en Europe où il avait encore demandé ces chasseurs. Mais jusqu'ici, les Occidentaux, Etats-Unis en tête, résistaient à ces demandes, invoquant les risques d'escalade du conflit, et affirmant qu'il ne s'agissait pas d'une priorité.
Le conseiller diplomatique de Joe Biden a assuré que la doctrine américaine n'avait "pas changé". La livraison d'armes "a suivi les exigences du conflit", a-t-il plaidé.
- "Coercition économique" -
Il a estimé que les F-16 faisaient partie des équipements dont Kiev aura besoin "à l'avenir" pour "être en mesure de dissuader et de se défendre contre toute agression russe", au-delà des nécessités immédiates liées à la contre-offensive ukrainienne prévue ce printemps et cet été.
La Maison Blanche a répété la position américaine selon laquelle, par son aide militaire, y compris en matière d'avions de combat, "les Etats-Unis ne facilitent pas, et ne soutiennent pas, des attaques sur le sol russe".
Vendredi, les dirigeants du sommet d'Hiroshima avaient déjà annoncé de nouvelles sanctions pour "priver la Russie des technologies, des équipements industriels et des services du G7 qui soutiennent son entreprise guerrière".
Samedi, les chefs d'Etat et de gouvernement des Etats-Unis, du Japon, de l'Allemagne, de la France, de l'Italie, du Royaume-Uni et du Canada devaient évoquer la "coercition économique" souvent imputée à Pékin, et la diversification nécessaire de secteurs-clés et des chaînes d'approvisionnement, pour moins dépendre de la Chine notamment.
"Ce que nous avons fait pendant plus de vingt ans avec la Chine, en encourageant son développement, était juste, mais peut-être aurions nous dû être plus prudents s'agissant des biens stratégiques, des chaînes d'approvisionnement et ces éléments", a reconnu un responsable de l'Union européenne.
A.Levy--CPN