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La Bourse de Paris recule de nouveau, pénalisée par le luxe
La Bourse de Paris a de nouveau reculé (-0,69%) mardi, pour la deuxième séance de la semaine, encore pénalisée par un repli du secteur du luxe qui pâtit des inquiétudes liées à l'économie chinoise.
L'indice vedette CAC 40 a reculé de 52,68 points à 7.580,03 points. Lundi, il avait perdu 1,19%, plombé par le secteur du luxe après des données économiques en Chine peu rassurantes et des résultats d'entreprises du secteur en Europe pas à la hauteur des attentes.
Mardi cette morosité a continué d'imprégner les marchés européens, qui n'ont pas trouvé de catalyseur pour suivre la tendance de Wall Street, qui progresse depuis le début de la semaine.
"Il y a des différences structurelles entre l'Europe et les Etats-Unis", rappelle Valérie Rizk, économiste chez Hugau Gestion. "Les Etats-Unis vivent très bien avec la demande intérieure", tandis que la zone euro est plus dépendante de la demande extérieure.
"Le chiffre décevant de croissance en Chine" qui a publié lundi une hausse de 4,7% de son PIB en glissement annuel, soit bien moins qu'estimé par les analystes, "a un impact sur les perspectives économiques pour l'Europe", souligne-t-elle.
Très exposées au marché chinois, les entreprises du luxe ont vu leurs actions reculer à nouveau mardi : Kering a perdu 3,10% à 311,35 euros, la plus forte baisse du CAC 40. LVMH a cédé 1,91% à 692,10 euros et Hermès 2,32% à 2.065 euros.
D'autres entreprises dont l'activité est liée à la Chine ont aussi terminé dans le rouge comme ArcelorMittal (-2,49% à 21,12 euros), L'Oréal (-1,55% à 400 euros) ou encore Pernod Ricard (-1,42% à 125,20 euros).
"Les espoirs de reprise étaient grands, mais l'économie de la zone euro fait du surplace", observe Kevin Thozet, membre du comité d'investissement de Carmignac. Et "plus les taux directeurs demeurent en territoire restrictif, plus l'économie risque de décélérer à vive allure", ajoute-t-il.
Mais les analystes ne s'attendent pas à ce que la Banque centrale européenne (BCE) abaisse ses taux directeurs à l'issue de sa réunion de jeudi.
"La BCE va devoir baisser ses taux à un certain moment, car le refroidissement de la demande va avoir des conséquences" mais il y a "un effet taux de change à prendre en compte", estime Valérie Rizk.
"L'euro risque de décrocher" par rapport au dollar si la BCE baisse trop vite ses taux par rapport à la banque centrale américaine et cela "remettrait une pièce dans la machine de l'inflation", explique l'économiste d'Hugau Gestion.
H.Meyer--CPN