
-
Le dirigeant syrien appelle à la paix civile après des tueries
-
Restaurants: les plateformes tentent de contrer le fléau des réservations non honorées par les clients
-
Le Nigeria veut profiter du cours élevé du cacao pour redynamiser sa production locale
-
Aux Etats-Unis, interdire le smartphone dans les écoles ne convainc pas tout le monde
-
Guerre commerciale: la dernière riposte chinoise entre en vigueur
-
Australie: près de 330.000 foyers plongés dans le noir après le passage d'Alfred
-
Rendez-vous dans cinq ans: à Paris, dernières visites au Musée d'art moderne du Centre Pompidou
-
Le dirigeant syrien appelle à l'unité après des violences meurtrières inédites
-
Chine: les prix à la consommation chutent en février, une première en un an
-
Le Canada change de Premier ministre en pleine guerre commerciale avec les Etats-Unis
-
Argentine: au moins 12 morts dans des pluies torrentielles dans la ville de Bahia Blanca
-
Iran: Khamenei fustige une politique "d'intimidation" après des menaces de Trump
-
8-mars: jour de manifestations pour plus d'égalité femmes-hommes
-
Tempête en Australie : deux camions militaires en mission entrent en collision, 36 blessés
-
Australie: la tempête Alfred provoque des coupures d'électricité massives et des risques d'inondations
-
Gare du Nord: le trafic a repris normalement samedi matin
-
Taxes ou non? Une semaine d'atermoiements de Trump tend les acteurs économiques
-
Le cyclone Alfred rétrogradé en dépression tropicale alors qu'il s'approche de l'Australie
-
Wall Street termine dans le vert après une semaine mouvementée
-
Entreprises: l'index égalité femmes-hommes progresse très légèrement en 2025
-
Après sa rencontre avec Trump, le patron de CMA-CGM se dit contre les "barrières" douanières
-
Cheffes d'entreprises : pas de parité avant 2075, estime la Banque de France
-
Prix de l'électricité: la guerre commerciale se tend entre industriels et EDF
-
Nutri-Score: pour Foodwatch, le gouvernement devrait "suivre les recommandations scientifiques"
-
La Bourse de Paris finit dans le rouge, après une semaine en dents de scie
-
Cinéma: une société de production jugée pour la destruction de nids de flamants roses
-
La série phénomène "HPI" revient le 15 mai sur TF1, pour une 5e et "dernière" saison
-
Wall Street tente un rebond après des données sur l'emploi aux Etats-Unis
-
L'Informé a passé la barre des 5.000 abonnés et mise sur sa croissance
-
Sites pornos: Youporn et Pornhub vont contester l'obligation de vérification d'âge
-
Wall Street en baisse après des données sur l'emploi aux Etats-Unis
-
Royaume-Uni: la justice allège les peines les plus lourdes contre des écologistes emprisonnés
-
Motion de censure contre le gouvernement après la pire catastrophe ferroviaire en Grèce
-
De retour en Egypte, le petit-fils du roi Farouk entend réhabiliter l'image de sa famille
-
Bangladesh: le chef du nouveau parti étudiant pour une "Deuxième République"
-
Ukraine: les infrastructures énergétiques cible d'un bombardement massif russe
-
La Bourse de Paris en nette baisse, les tensions avec les Etats-Unis inquiètent
-
Cyclone à La Réunion: un fonds de 200 millions d'euros pour aider les collectivités
-
En Espagne, la fin programmée du nucléaire met le gouvernement sous tension
-
En Tunisie, de jeunes passionnés aident des rapaces à retrouver la vie sauvage
-
Les microalgues, un "or vert" qui tarde à pousser en Europe
-
Australie: 80.000 foyers sans électricité alors que le cyclone Alfred se dirige vers la côte
-
La Chine promet de répondre fermement aux pressions des Etats-Unis
-
Dans les villages du Bangladesh, le long combat contre la mortalité maternelle
-
La sonde américaine s'étant posée sur la Lune n'a probablement pas aluni correctement
-
L'entreprise SpaceX d'Elon Musk essuie un nouveau revers avec sa mégafusée Starship
-
SpaceX perd une nouvelle fois contact avec le vaisseau de sa mégafusée Starship
-
Les Européens s'engagent à renforcer leur défense, Washington et Kiev reprennent langue
-
La sonde américaine s'étant posée sur la Lune est probalement inclinée
-
Wall Street glisse face aux multiples développements sur les droits de douane

Iran: Khamenei fustige une politique "d'intimidation" après des menaces de Trump
Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a dénoncé samedi une politique d'"intimidation" des Etats-Unis, après que le président américain Donald Trump a menacé de s'en prendre "militairement" à l'Iran si le pays ne négocie pas son programme nucléaire.
"Je leur ai écrit une lettre en disant que j'espère que vous allez négocier parce que si on doit attaquer militairement, ce sera une chose terrible pour eux", a affirmé le président américain dans un extrait d'interview sur la chaîne Fox Business diffusé vendredi.
"Certains gouvernements insistent par l'intimidation pour obtenir des négociations", a déclaré samedi Ali Khamenei, sans toutefois mentionner le nom de Donald Trump.
"Pour eux, les négociations ne servent pas à résoudre les problèmes, mais à dominer et ils veulent imposer leur volonté à l'autre partie par le biais des négociations", a ajouté le plus haut personnage de l'Etat, lors d'un discours devant des responsables à l'occasion du ramadan.
Le président Massoud Pezeshkian, favorable à des négociations avec les pays occidentaux pour obtenir une levée des sanctions et relancer l'économie iranienne, était présent.
Ali Khamenei, au pouvoir depuis 1989, n'a pas mentionné une lettre supposément envoyée par Donald Trump.
Le guide suprême iranien n'a par ailleurs pas réitéré son opposition à des négociations avec les Etats-Unis lors de son discours.
L'ayatollah Khamenei, qui a le dernier mot en Iran sur toutes les décisions stratégiques, avait exhorté début février le gouvernement Pezeshkian à "ne pas négocier" avec Washington, estimant qu'une telle démarche serait "imprudente".
Il avait alors justifié sa position par "l'expérience", selon lui, d'accords passés avec des dirigeants américains mais non tenus.
- Promesses non tenues -
Donald Trump s'est retiré unilatéralement en 2018 d'un accord international sur le nucléaire que son pays avait pourtant conclu trois ans plus tôt avec l'Iran.
Le texte prévoyait la levée de certaines sanctions contre Téhéran en échange d'un encadrement des activités nucléaires iraniennes.
La France, l'Allemagne, le Royaume-Uni, la Chine et la Russie sont liés à cet accord, aujourd'hui moribond.
En représailles au retrait américain, l'Iran s'est progressivement détaché de ses engagements et accéléré ses activités nucléaires.
Téhéran défend un droit au nucléaire à des fins civiles, notamment pour l'énergie, mais réfute vouloir se doter de l'arme nucléaire.
"Trois pays européens déclarent dans des communiqués que l'Iran ne respecte pas ses engagements", a relevé samedi Ali Khamenei.
"Quelqu'un devrait leur demander s'ils ont respecté leurs engagements", a poursuivi le dirigeant iranien.
"Quand l'Amérique a quitté l'accord, vous aviez promis" de maintenir l'accord en vigueur "mais vous n'avez pas respecté votre promesse", a relevé M. Khamenei.
Vendredi dans un entretien accordé à l'AFP, le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi a déclaré que l'Iran ne reprendrait pas de négociations avec Washington tant que le président Trump resterait sur une position dure.
Mais il a toutefois dit discuter du nucléaire avec la Russie, la Chine et les Européens, parties de l'accord de 2015.
Y.Ponomarenko--CPN